Heart of Devil
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 I'M GOING TO LOST THE CONTROL {PV:KAEMON}

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Lily C. Weaver

I'M GOING TO LOST THE CONTROL {PV:KAEMON} 246929Sastitre1modifi2
Lily C. Weaver


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Localisation : Surement en train d'exploser un démon

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MessageSujet: I'M GOING TO LOST THE CONTROL {PV:KAEMON}   I'M GOING TO LOST THE CONTROL {PV:KAEMON} Icon_minitimeLun 30 Juil - 14:45



I'M GOING TO LOST
THE CONTROL


















« Mlle Weaver, auriez vous l’obligeance de nous montrez l’étendu de votre clarté d’âme, a moi et a votre classe ?»
Je me lève, impassible, affichant comme a mon habitude cette expression dégaineuse qui me vaut ma réputation de fille la plus froide du lycée. Pourtant si je me montre une fois de plus sure de moi je n’en sis pas moins terrifié a l’idée de devoir présenté ma clarté d’âme devant mes camarades. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que c’est derniers temps, elle se montre plutôt . . . réticente. Comme si elle me faisait la gueule ou quelque chose du genre. . . Et je n’aimais pas ça du tout. Quelle ironie, mon pouvoir était le contrôle et je perdais le contrôle sur mon propre pouvoir. Une a une, je descends les marche, un silence pesant s’est installé. Tous les regards sont rivés sur moi. Je me place au centre de l’estrade du professeur, juste devant le tableau. Chi est resté a notre place, il est inquiet, tout comme moi. Je ferme les yeux, me concentre. Je dois y arriver. Je dois y arriver. Autour de moi, l’air commence à tourbillonner. Mes cheveux, lâchés ce jour là, se soulève lentement. Une simple démonstration de mes pouvoirs ne m’avait jamais demandé tant d’effort. Alors que se passait-il ? Autour de moi, des chaines dorés commencèrent a se matérialisé. Mais si les élève ne le remarquèrent pas, je peinais a garder le contrôle sur elle. Doté chacune de pointe aiguisées, ce serait une catastrophe si elle parvenait a se libéré de mon emprise. Surtout dans un endroit comme celui-ci, ou les élève en arc de cercle autour de moi, pouvait se faire transpercé sans problème. Soudain, je les senties échapper a mon contrôle. Je panique, le professeur ne se doute pas que les mouvements irrégulier des longues chaines ne sont pas volontaire de ma part. Sans que je ne puisse les contrôler, elles partirent toutes dans différente directions, pour venir se planter dans le bois des bureaux des étudiants, leur arrachant des cris de surprise lorsque les piques vinrent se ficher a quelque centimètre d’eux. Enfin, je réussi a calmer les serpents de fer fous et les fis disparaitre, le souffle court encore chamboulée par ce qui venait de se passer. Pourtant, contre toute attente, ce fut un tonnerre d‘applaudissement qui retentit dans la classe. Une fois de plus, personne ne voyait vraiment ce que je ressentais.
***
23h14, appartement des Weaver.
Je déboule comme un boulet dans ma chambre, lâche mon sac de cours et ouvre ma grande armoire pour en tiré mon sac de voyage. Noir, en cuir, simple. J'avais besoin d 'air. Il fallait que je détache de mes attaches pendant une petite période, histoire de faire le point sur ce qui ce passait ces derniers temps.Pas question de rester a l’académie, je ne voulais que personne ne sache les difficultés que j'éprouvais avec ma clarté d'âme. C'était déjà assez dur pour moi. Tandis que mes tourment allait et venait dans mon esprit, je remplissait mon sac de vêtement et de tut ce dont 'avais besoin pur mon escapade. Mon père devrait dormir, je lui laisserait un mot comme quoi je part en mission. Ce ne serait pas un problème. Pourtant, alors que je finissait ma valise, la porte s'ouvrit sur Artha Weaver, mon père.

« Je peux savoir ce que tu fais ? fit il d’une voix sévère »

« Ma valise, ça ne se voit pas ? » répondit-je

« Et pour aller où ? »

Je réfléchis un instant, un peu prise au dépourvu.

« Évaluer la situation a Yunderdom » menti-je

Il soupira, et passa une main sur son visage.
Lily, il faut qu'on parle, se n'est plus possible, s tu continue comme ça, ton corps ne tiendra pas. »

Il ne tient déjà plus. . .

***
02h56 du matin, salle d’entrainement de Yunderdom.

Je pousse la porte du gymnase, vide. C’est sur, qui aurait idée de venir s’entrainer a une heure aussi tardive, a part moi ? Chi sur mes talons, il n’ose pas m‘adresser la parole. Surement car il sait que je ne me suis pas encore remise des précédents événements. Au centre d l’immense salle, la où les marquages destinés aux jeux balle se rejoignent, je me stoppe.

« Chi, tu accepterais de me rendre un service ? »

Le cait sith me regarde, incrédule.

« Bien sur, fait-il d’une voix étonné, qu’a tu en tête ? »

« Je voudrais que tu catalyse ton énergie avec moi pour m’aider à maitriser ma clarté d’âme »

« Lily, tu ne pourras pas supporter mon énergie plus la tienne ! »

« Je le pourrais, fais moi confiance. »

Il se résigna donc il savait que je ne changerai pas d’avis.
L’énergie de nos deux corps réunie émane de partout, créant un énorme vague de lumière bleuté qui m’aveuglait. Entouré par cette sphère de puissance, Chi et moi concentrions notre pouvoir sur ma clarté d’âme. Je sentais la sueur perler sur mon front, mes yeux était clos dans le but d’aider ma concentration a se stabilisé. Chi gémissait tellement l’effort était rude. La sphère d’énergie, instable, grossissait pourtant petit à petit. Je serre les dents. Mon corps souffre. Ma peau me brule. Je tremble de partout, saisie par des spasmes de plus en plus violents. Enfin, les chaines de ma clarté d’âme se matérialise autour de moi, doré et . . . éclatante d’une lumière bleuté. Elle multiplie lentement, dansant autour de moi, ondulant tel de longs serpents.
Plus . . .

Elles se multiplient encore.

Plus . . .

Elles grossissent encore et encore.

PLUS !

La tension est trop élevée, mon corps ne tient plus. Je tente de maintenir le contrôle sur les serpents meurtrier qui n’attendent que que je relâche mon attention pouvoir dévaster la salle une fois de plus. Soudain, sans que je ne vis rien venir, elles se retournèrent toute vers moi. J’eus un hoquet de stupéfaction. Et elles transpercèrent mon corps chétif sans aucune résistance. Je sens un flot de sang s’échapper de ma bouche La douleur est atroce, pourtant, je n’ai pas l’impression de la ressentir. Après un instant qui me sembla durer une éternité, je m‘écrasa au sol tel une poupée de chiffon ; le choc fut rude, j’en eu le souffle coupé. A moins que se soit a cause de mon échec. Par chance, les chaines n’avaient perforé aucun de mes organes vitaux. Pourtant, les blessures étaient profondes, et mon sang se répandait peu à peu sur le plancher. Non loin, Chi était lui aussi étendu sur le sol, inconscient. Ma respiration était saccadée, je luttais pour ne pas perdre conscience.

J'entends la porte s'ouvrir, mais j'en suis incapable de voir qui entre. Qui pourrait venir ici a une heure pareille? Et dans mon état, était-je seulement capable de me défendre? Bien sur que non. Mais je garde mon sang-froid.

Je crois que je suis en train de perdre le contrôle.



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Kaemon
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MessageSujet: Re: I'M GOING TO LOST THE CONTROL {PV:KAEMON}   I'M GOING TO LOST THE CONTROL {PV:KAEMON} Icon_minitimeVen 3 Aoû - 11:41


J'étais complètement fou. Fou à lier. Je ne devrais pas, je le savais bien, pourtant je ne pouvais m'en empêcher. Il fallait que je la vois, même si c'était prendre le risque de vouloir manger son âme. Je ne pourrais pas lui parler, bien sûr, mais l’apercevoir me ferait du bien. Il ne fallait pas qu'elle me remarque, mais moi je pouvais toujours. C'était faisable.


« Gamin. Hé, Gamin. Oh Gamin ! »

Je relevais les yeux vers celui qui s'adressait à moi. Ses mains bouffies s'agitaient devant mes yeux et je recula pour ne pas lui sauter dessus. Je l'avais vu, pas la peine d'en faire des tonnes.

« Quoi ? »
« Ah bah enfin, quand on prend le métro faut faire attention aux stations. C'est le terminus. »
« Tout le monde desceeend ! »
cria un gosse tout aussi obèse que son père.

Je faillis leur crier qu'il y avait un démon à côté mais me revint. De toute façon, ils descendaient sur le quai. Je fis de même et, la capuche de mon sweat baissée devant les yeux, sortit à l'air libre. Il faisait presque complètement nuit et les rues étaient quasiment désertes. La plupart des maisons avaient les volets fermés et la lumière éteinte. Il était déjà tard.
Je ne mis pas beaucoup de temps à trouver la maison. Si je revenais sur mes pas et tournais à gauche, je ferais face à la forêt. La forêt, celle du cri, du corps, de la Voix, là où tout à commencé.
Je secoua la tête. N'y pense plus Kaemon, n'y pense plus. Ça ne sert à rien.
Toute la maison était plongée dans le noir, du moins les pièces donnant sur la rue. Je fis le tour et escalada le mur de pierre puis la haie pour retomber sur l'herbe du jardin. Le salon était illuminé par la lumière. Je m'approcha et jeta furtivement un coup d'oeil, dos au mur.
Elle était là, sur le canapé, les jambes rabattues contre sa poitrine, à regarder la télévision. Même d'ici, je pouvais voir que ça n'allait pas. Elle était au bord des larmes.


« Maman... » murmurais-je.

Je n'aurais pas dû venir. C'était de la folie. Maintenant, tout ce dont j'avais envie c'était de rentrer et d'aller la serrer dans mes bras. Après tout, qu'est-ce que ça pouvait bien faire ? Je n'allais pas forcément avoir envie de me transformer et de manger son âme. Peut-être que tout allait se passer comme avant. Cela faisait des mois qu'on ne s'était pas parlé, ni vu. Si j'y allais, maintenant, et que je disais que j'étais désolé, qu'il avait fallu que je parte quelques temps, alors tout irait à nouveau bien. On reprendrait la vie comme avant, sans qu'elle ne sache ce que j'étais devenu. Et les jours où j'aurais besoin de manger, je n'aurais qu'à m'éclipser et faire ce que j'avais à faire. C'était aussi simple que ça, alors pourquoi pas ? Je lui avais fais assez de mal comme ça. Je m'en voulais.

Lentement, ma mère se leva. Elle se frotta les yeux, puis se passa la main dans les cheveux, se retourna et se dirigea vers la cuisine. Lorsqu'elle eut disparu, je n'hésita pas et ouvrit la porte de derrière. Elle donnait directement sur le salon et en faisant quelques pas à l'intérieur, j'entendis les paroles du journaliste, aux informations :


« ... il semblerait que le démon ayant fait cela ait été particulièrement violent, le corps se trouvant sacagé. Heureusement, nos spécialistes ont réussi à identifier une jeune fille âgée de dix sept ou dix huit ans. Nous vous conseillons de ne pas trop vous approcher de la forêt, pour peu que vous habitiez Yunterdom. »

C'était donc ça. Elle pensait que ce corps m'appartenait, que c'était le mien. Que j'étais mort.
D'une certaine manière, elle n'avait pas tort. J'étais mort. Elle avait dû appeler la police, lancer des avis de recherche... Aurais-je dû la prévenir que je partais ?
Un grand bruit dans la cuisine m'indiqua que du verre se cassait sur le sol. Un gros sanglot retentit ensuite.
Non, si je la prévenais, si je restais là il faudrait que j'explique d'autres choses. Pourquoi je m'étais absenté aussi longtemps par exemple. Et je ne pouvais pas. Rester ici ne serait pas aussi simple que je l'avais pensé.

Je me retourna brusquement et courut jusqu'à la sortie, la porte. Je me faufila dehors, puis referma le plus vite possible tout en silence le battant. Il fallait que je parte d'ici au plus vite.
En voulant sauter au-dessus du mur, mon pied se prit dans une branche de la haie et je glissa en avant, le nez contre la pierre. La douleur se répandit aussitôt et je cria un juron. Maudite haie. Je dégagea comme je le pus mon pied et tomba lourdement la tête la première sur le trottoir. A nouveau je cria, les yeux piquants, le nez en sang.

Je me remis debout et pris la fuite, la vue brouillée par les larmes qui ne tardèrent pas à couler le long de mes joues. L'eau salée entrait dans ma bouche, et je la laissais faire. Je n'aurais pas dû venir, c'était trop dur.


« Je savais que tu étais capable de la tuer. »

Quoi ? Non, je ne l'avais pas tué. Ma mère était toujours vivante je l'avais vu. La cuisine. Et si... ? Non, impossible, les démons ne tuaient pas à distance. Elle était vivante. Elle était EN VIE.

« Tu as tué cette chère jeune fille à la chair tendre et délicieuse. »

Je secoua vivement la tête, des larmes tombèrent à terre et des mèches s'en mouillèrent. Je n'avais... Je n'avais tué personne cette nuit. La Voix mentait. Je l'entendais, ses paroles me revenaient, mais ce n'était qu'un souvenir. Et pas la réalité. Pas la réalité. Pas la réalité Kaemon.

« Mange-la Kaemon. Mange son âme. »

Je me pris la tête à deux mains et serra. Fort, plus fort. A m'en faire mal aux tempes. Arrête. Tais-toi ! Arrête de te faire mal Kaemon. Tais-toi ! Sors de ma tête !
Je hurla et crus voir une forme, à quelques mètres devant moi, sous la lumière blanchâtre d'un lampadaire. Mon premier geste fut de faire demi-tour, pour ne plus la voir. Mais après avoir cligné des paupière, l'ombre n'était plus.

Je perdais la boule. Je devenais fou. Sans que je n'y puisse rien, les larmes coulèrent à flots plus grosses et plus nombreuses encore. Il fallait que je parte. Plus loin encore. N'importe où, du moment que ça ne me rappelle pas cette endroit, ni l'ombre, ni ma mère, ni la Voix. C'est impossible Kaemon. Je SAIS, mais on peut essayer ! On peut essayer.

La capuche rabattue sur la tête – elle était tombée – je m'éloigna en marche rapide. Je ne savais même pas où j'étais, mais peut importe.

♣ . ♣ . ♣

La lumière et les bruits venaient d'un grand bâtiment de pierre. Je m'approcha et écouta, les yeux posés sur le dôme d'où jaillissaient des flots de lumières et des ombres. Boum, Clik, Gling, Boum Boum. Ca recommençait, suivis de petits cris cette fois-ci.
Des cris. Comme dans la forêt. Devais-je entrer ? De toute manière, qu'est-ce que je risquais de pire ? J'étais déjà mort, j'avais déjà tout perdu, alors peu importait. Je poussa la porte sur laquelle un écriteau indiquait que la salle d'entrainement de Yunterdom fermait à partir de minuit. Minuit était largement passé. Ce qui signifiait qu'il y avait plus de chances pour que ces bruits viennent d'un démon, plutôt que d'un humain. Tant mieux, ça m'évitera de devoir me maitriser.

Je mis du temps à trouver la grande salle, d'où tout ce vacarme provenait évidemment, et lorsqu'enfin je fus rendu devant, j'hésita une seconde avant de pousser la porte.
Et le spectacle qui m'y attendait était... incroyable, beau, stupéfiant, terrifiant. Des dizaines, voir des centaines de chaînes de fer hérissées de pics acérés volaient en tous sens, déchiraient des matelas, se plantaient dans le bois des échelles, des cordes mais surtout, dans le corps d'une fille. Je revis la scène de la forêt. Le corps allongé sur le ventre, et d'où glissait de l'hémoglobine. Le visage fermé, les yeux sans vie et pourtant ouverts. Elle ne bougeait pas.
La différence était qu'ici, la fille était allongée sur le dos, le ventre couvert de sang et de trous, les cheveux trempés de plasma, collés contre le visage.
Je n'hésita pas et me précipita sur elle. Elle était plus jeune que la fille de la forêt, au moins trois ans d'écart, peut-être deux ou quatre. Et elle était surtout beaucoup plus blessée. Le journaliste à la télé exagérait – à moins que les blessures du cadavre ne soient internes –, moi pas.

Je m’agenouillai, enleva mon sweat et le plus doucement possible, la souleva et l'enveloppa dans le vêtement. Les chaînes avaient disparus. Je n'avais d'yeux que pour la blessée. Et dieu soit béni, je n'avais pas envie de lui sauter au coeur. Mais plutôt de la soigner, de la sauver. Je redevenais le garçon que j'étais avant.

A côté d'elle, un espèce de gros chat était lui aussi inerte et je supposa qu'il lui appartenait. Je souleva d'abord la fille, maintenant sa tête contre mon tee-shirt qui commença à se souiller de son sang, et sortit dans la rue en direction du quartier abandonné. Lorsque j'eus trouvé une maison, je l'adossa contre le mur, entra et vérifia qu'elle était bien abandonné. Je l'installa sur un vieux canapé et retourna chercher son compagnon. Je n'avais jamais vu de pareils blessures.
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